Le week end de folie: samedi

Publié le par David POHUNEK

De retour sur le blog. Les journées sont dures ces temps-ci: lever à 8h00, retour à la maison à 22h, depuis trois jours. Ca nous laisse pas beaucoup de temps pour "blogger". Je vais faire de mon mieux ce soir, je vais raconter ce week-end, qui a été bien rempli.

Je m'étais arrêté la dernière fois en annonçant ma rencontre avec le plombier et l'arrivée du papa de Marilyne.

L'équipe prévue pour samedi était la suivante: Marilyne, Mon père, le père de Marilyne, Carlos, le plombier, et moi. Ma mère faisait indirectement partie de l'équipe, car elle nous a préparé de quoi manger pour tout le monde.

Chacun faisait un bout du boulot: Carlos est venu pour faire toute la plomberie de la cuisine, en prenant soin de débarasser les tuyaux déjà sur place. Et bienentendu, en milieu d'après midi, il avait fini et fait un super boulot.

Mon père s'est occupé de corriger les murs dans la chambre du bébé. Le mur donnant sur l'extérieur avait bien travaillé et la peinture était bien craquelée. Avec son tournevis et sa spatule, mon père s'est occupé de son cas. Une  fois fini le travail, il s'est occupé de démonter les coffrages en bois de la salle de bain: autour de la tuyauterie et autour de la baignoire. Ayant moi-même essayé quelques jours avant, c'était balaise.

Le père de Marilyne, dans l'optique de casser rapidement les murs prévus (le placard du salon et le placard de l'entrée), avec son super perforateur, il a démonté ces deux placards (pas évident non plus!), il a pris les mesures nécessaires et marqué les murs. Il restait plus qu'à casser (mais ça attendra lundi, lorsque plein de gens seront loin de chez eux). Il a aussi arraché un reste de papier peint dans la salle à manger.

Marilyne et moi avons commencé notre journée en allant dans ce fameux magasin de carrelage du 18eme, Championnet Carrelage. Comme tous les magasins un samedi, c'était blindé de monde. J'ai montré à Marilyne le carrelage que j'y avais vu une semaine auparavant, et nous étions d'accord. Il s'appelle Nigeria, deux teintes: chocolat et beige. Je suis allé calculer les surfaces nécessaires, dans un coin du magasin. Là j'ai été apperçue par une des vendeuses, qui m'a pris pour un ouvrier travaillant dans le dépôt. Je lui ai expliqué ce que nous voulions et a commencé à s'occuper de nous. Nous cherchions aussi des petits carreaux pour les contremarches et d'autres un peu plus classe pour le lavabo. La vendeuse nous a montré différents modèles et le choix a été vite fait. Pour les contremarches, un mix beige clair, beige foncé et blanc. Pour le lavabo, un marron irisé, qui ira bien avec la couleur du bois. Et enfin le Nigeria, avec la frise d'exposition. Un pot de joint couleur sable et on allait faire l'addition.

Et là surprise: La frise, quasiment en moindre quantité, coutait le tiers de la facture. Ah! Bon...ben on en veut pas :) La vendeuse nous a proposé de faire une frise avec les mêmes petits carreaux marron irisé, et ça nous a plu. Finalement, on en a eu pour environ 500€. On a tout emporté à la maison, sauf le Nigeria, qui sera disponible d'ici 10 jours.

Après tout ça, nous sommes allé faire un tour à Leroy-Merlin. Là, des gros achats. Gros, comme lourd. De la colle à carrelage, du mortier, du platre et des broutilles. Vive les chariots qui supportent tout ça.

De retour à l'appart, il fallait monter tout ce stock dans l'appart, ce qui était une autre partie de galère.

L'après midi, j'ai attaqué les murs des toilettes, ou la peinture tombait toute seule des murs...ce sera autant d'enduit de lissage à mettre, et de ponçage.

Et d'un coup, il faisait nuit et tout le monde était crevé. Et fallait aller se coucher. Heureusement, on avait le droit de revnir le lendemain.

Publié dans La cuisine

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